lundi 31 août 2009

La punition


Il y a punition et punition, re-vision
J'imagine qu'à chaque rencontre, que chaque jour,  je remette à Maître A le tableau des fautes commises.
Je garde ce petit carnet offert ou j'ai écris : Je m'engage moi, soumise B à noter ici l'ensemble de mes fautes sans chercher d'indulgence. Je proposerais les punitions à ces fautes sans être douce avec moi-même, ces punitions doivent me permettre de combler mes lacunes que je sais encore nombreuses.
Maître A me puniera fermement, sans se laisser attendrir car je le sais juste. Il veut que j'avance, que je devienne la soumise dont il est fier. Et pour cela il sera exigeant. 
Je sais que ces punitions ne sont pas celles qu'il prefère mais Il les considère indispensable, c'est ce qu'il appelle mon dressage. 
Maître A tient le plaisir de soumise B pour sa propriété, il est donc sous son contrôle... il donne chaque jour des consignes à soumiseB. Elle peut jouir ou pas. (cf Les plaisirs de soumise B).

CARNET DE PUNITIONS : chaque jour j'inscrit mes erreurs, mes réflexions et celles de mon Maître, les punitions que j'ai proposées à mon Maître, celles qu'il a modifiées...
Voici un petit extrait à titre d'exemple... 

PREMIERE SEMAINE DE SOUMISSION
JOUR 1 - MARDI 18 AOÛT :
Premier jour de Soumission : Maitre A  ne m'a pas punie exceptionnellement, il voulait me donner les bases de notre relation et le principe des punitions...
Ces punitions ne doivent pas être récherchées mais supportées comme une étape vers l'acquisition de régles de soumissions extrèmement rigoureuses. 
La soumise de  Maître A a une hygiène de vie et un comportement délicatement raffiné. C'est cela que je dois apprendre et donc ces punitions m'y aideront. 

JOUR 2 - MERCREDI 19  AOÛT:
J'ai oublié de prévenir Maitre A par un rapide message par exemple"oqp", chaque fois, que pour des raisons professionnelles, je ne pouvais pas lui répondre dans l'immédiat. Maitre A ne supporte pas d'attendre, sans motif, mes réponses lors de nos conversations par mail ou sur msn.
La première fois que j'ai mis du temps à lui répondre, parce que j'avais du répondre à un collègue entré dans mon bureau, il m'a enseigné la règle. Il a montré que cela n'était pas acceptable. Et qu'il ne l'accepterait plus. Bien sûr, je l'ai approuvé comment avais-je pû le faire attendre... nous sommes des professionnels très occupés et notre temps est précieux, je dois profiter de son enseignement et ne pas lui faire perdre de temps. De plus, j'admets que cela est de la pure courtoisie et je me suis sentie réellement fautive. 
Il a accepté comme punition que je connaisse ma première séance de cire chaude. Il me fera donc tomber une pluie de cire chaude sur mon coprs nu. je suppose que cela sera long et douloureux car j'ai eu le toupet de refaire la même erreur dans l'après midi.
Je devrais donc être chatiée pour deux fois la même erreur. Et là je conçois que la punition sera sévère...
La première fois pouvant se concevoir puisque je suis en éducation mais la 
seconde fois est de l'entêtement ou de la stupidité et Maître A ne peut l'accepter.

JOUR 3  JEUDI 20 AOÛT 
Ce matin, j'ai eu une audace éhontée : Maitre A m'avait demandé de porter aujourd'hui un string.
Dans un élan, j'ai pris la liberté de faire le trajet fesses nues,  pour faire de la bicyclette pour me rendre à mon travail,  mettant mon string dans mon sac en prenant mon vélo.
Je suis arrivée au bureau... émoustillée. Comment ai-je pû prendre une iniative pareille, m'exciter sans que Maitre A ne m'y autorise au préalable.
 Alors qu'il a pris contact avec moi, pour notre conversation quotidienne par MSN, je lui est avoué être sans string et humide de désir. Une sévère punition était nécessaire. Il exigea que je me déconnecte immédiatement, que je remette le string, croise les jambes sous mon bureau et travaille. Je suis privé de lui pendant deux longues heures. Je ne peux me reconnecter avant midi. 
Mais ma faute mérite une double punition : je serais donc punie encore en adoptant pour 15mm au moins la position de repentie.
Cette position :  nue, jambes tendues et écartées, j'accroche mes mains à mes chevilles et reste ainsi sans plier les genoux. 
Je ne suis décidément par encore parfaite et voilà que je viens de faire une nouvelle erreur magistrale.
Alors que j'avais à peine évoqué dans une discussion, la possibilité d'avoir des pratiques Uro.
J'ai cru bon de goûter mon urine au réveil pour savoir si j'étais capable de dépasser cette limite. 
Je l'ai fait et je n'ai pas détesté... le goût n'était pas répugnant comme je le pensais... 
Mais Maitre A à qui j'ai avoué cette tentation qu'il a qualifié de "Passage à l'acte" n'a pas du tout apprécié que je le fasse sans lui.
Et donc j'ai dû lui raconté dans le détail le fait :
j'ai bu l'équivalent d'un demi verre à vin, une tasse de the japonais.  En deux reprises. Ce demi verre n'etait bien sûr qu'une partie infime de mon urine. "Maitre, cela n'ai pas trés élégant mais je me suis assise sur les toilettes mis sous moi, la tasse de thé... recueilli un peu de mon liquide puis termniner classiquement d'uriner. Je me suis levée, mise à genoux, pensé à vous et bu en deux fois le liquide."
J'ai du lui proposer une punition à la hauteur de mon audace. Puisque j'aime mon urine, je devrais lors de notre prochaine rencontre boire toute l'urine de ma première envie, et la boire en présence de mon maître et à quatre pattes à ses pieds. 
De plus, lorsqu'il devra lui même satisfaire ce besoin, je l'accompagnerai, recueillerai dans mes mains jointes son liquide et le lapperai... 
Mais Maitre A estime que cette audace est grande : aller m'initier seule, qu'il estime nécessaire de me battre. Il a évoqué le fouet. 
De plus il m'a obligé à raconter cela sur le blog pour que tout le monde puisse le lire, alors que je n'osai même pas lui en parler car j'avais honte.
Maitre A ne m'a pas encore battue corporellement, j'appréhende sa sévérité





Tous droits réservés © harmony . Qu'importe de savoir si, cela est revé, vécu par Harmony, ce qui importe ici c'est l'exploration de la dépendance, du dressage... 

vendredi 21 août 2009

Maître A


 Maître A,

Donc aujourd’hui, notre rencontre serait différente : il a entre temps accepté de me prendre pour soumise et de m’éduquer.
Il m’avait donné RV à 14H30 à Gare de Lyon. Je devais m’y rendre avec une robe claire, courte ou pouvant largement s’ouvrir sur le devant, bien sûr, il m’ordonna de m’y rendre sans culotte. — j’avoue que j’ai encore beaucoup de mal à être sans culotte toute la journée.
Maître A m’avait autorisé le soutien gorge car devant me rendre à un déjeuner professionnel avant le RV, il aura été peu judicieux que je sois entièrement nue sous ma robe.
— j’ai donc découvert la nécessité d’aller acheter des soutien-gorge qui supporte la poitrine sans la dissimuler ou libérant largement les tétons. Je dois le faire rapidement mais je dois chercher car je les voudrais jolis, j'aime la belle lingerie. En si peu de temps, nous étions déjà jeudi, je n'ai pas trouvé de dentelle à cet usage, et, j’ai pris la liberté de mettre un soutien gorge classique.
Vendredi matin : Jour J - C'est sur le quai du métro ce matin, que j'ai enlevé mon slip — Je ne sors pas encore de chez moi sans culotte — cela m'a inquiétée mais terriblement excitée aussi d'imaginer être vue enlevant ma culotte. 
En arrivant au RV, Maitre A étant passablement agacé et de ma faute, toute la matinée sans nouvelle, il ne passerait pas sur cette faute.
Encore le fameux message oqp (Voir cahier de punition) mal assimilé — sans aucun doûte résistance consciente ou inconsciente de la femme libre et indépendante que je suis depuis mon adolescence et qui n'a pas encore compris ce pourquoi de soumission (Qui est soumise B).  Je devrais faire attention, là cela devient  stupide de ma part et Maître A m'oblige à l'avouer. Je dois l'avouer, et me voir comme je suis au moins sur ce point : idiote, mal éduquée, têtue... je vais devoir proposer une punition sévère(Voir cahier de punition) et ne plus avoir à le lui faire répéter. 
Mais cela sera sur le cahier de punition de la prochaine séance... 
Donc nous nous rendons dans la chambre que Maître A à réservée et là très vite, il est Le Maître. 
- Pourquoi si peu de boutons ouverts à ta robe ? 
- Es-tu sans culotte ? 
- Montres-moi
- Pourquoi as-tu un soutien-gorge ? 
- Déshabilles-toi entièrement, puis déshabilles-moi... 
  J'obtempère, la tête me tourne, mon corps s'électrise... oui, j'ai accepté, oui je le deviens, soumise je veux être pour le plaisir de mon Maître. Il y aura des sursauts de résistance, de la rébellion, des rechutes...    
- Mérites-tu des punitions, tiens-tu à jour ton carnet de punitions ? 
- Oui, Maître...
- Tournes-toi , baisses-toi , position de repentie.
Je me tourne vers le mur, fesses vers mon Maître, j'attrappe mes chevilles avec mes mains sans plier les genoux... mes fesses sont offertes.
Le premier coup de canne me traverse le corps, sans hésitation, fermement un coup sec, brutal, juste.
Un second, je me mords les lèvres pour ne pas gémir... je les ai mérité... déjà un troisième coup brûle mes fesses. Je m'accroche à mes chevilles, je ne veux pas gémir, pas vaciller... j'ai mérité cette punition, je dois l'accepter sans pleurer sans gémir. Mon Maître est juste et je reçois le 4e coup, qui m'électrise...
- Tu en as assez ? 
- Maître, il y a eu 4 coups, j'en mérite plus.
- Oui, le voilà.
Le cinquième coup traversa mes deux fesses qui s'enflamment sous les coups. La chair brûle.
- Relèves-toi. 
- Montres-moi les positions du rituel :
Les 4 positions effectuées en enchaînement constituent le rituel que je fais le matin, le renouvellement quotidien de la soumission à Maitre A par soumise B. 
 Position 1 - Je dois devenir votre chienne : A quatre pattes, reins cambrés, jambes écartées, fesses vers le Maître. 
  Position 2 - vous disposez de moi  : A quatre pattes, reins cambrés, jambes écartées, mains attrapent les chevilles, les seins offert, la tête rejeté en arrière.   
  Position 3 - je suis votre esclave  : S'aplatir au sol, face au sol, jambes et bras en croix.  
Position 4 - Je suis totalement à vous
A quatre pattes, reins cambrés, jambes écartées, mains sous les seins en position offrande, regard cherchant celui de mon Maître. 
- C'est le rituel ? Mais il y a le désir ? 
- Oui, Maître après ces positions enchainées en pensant à vous mon sexe humide coule... alors avec une cuillère d'argent, je recueille ce désir.
- Oui, tu recueilles, et 
- et je le mange.
- Fais-le !
Je vais dans mon sac, y retrouve la cuillère en argent du rituel... 
- J'aime cette pièce d'argenterie. 
- Merci, Maître.
- Mais comment fais-tu, montres-moi ? 
J'écarte les jambes, ouvres les lèvres de mon sexe humide, enfonce la cuillère d'argent assez loin, tourne légèrement pour recueillir le désir sur la paroi intérieure.
Je sors la cuillère, une délicate gelée blanche y est déposée. Je la dépose sur ma langue... mi-salé-mi-sucré, mon désir est délicieux. 
- Fais-moi goûter.
Mon Maître prend la cuillère qu'il lèche.
- Viens à côté de moi , sur le lit... Masses-moi le dos, je suis fatigué, tendu... 
J'entreprends de le masser délicatement, de chaque côté de la colonne vertébrale, sur ses épaules... 
- Caresses-moi les fesses !
- Je caresse les fesses rondes de Maître A, j'aime le toucher, son corps est beau, est ferme. 
- Caresse-moi avec ta langue !
- Je vais le rafraichir à l'eau tiède et au savon, Paris en cette saison est insupportable de chaleur...
- Puis à genou entre ses jambes, je viens doucement chatouiller le précieux anus de mon Maître. J'aime le pénétrer avec ma langue. Cela pourrait durer des heures. je pointe ma langue et vais et viens... et viens et vais. 
Je le sens se détendre, se reposer, oublier les tensions de sa vie professionnelle pour pénétrer délectueusement dans le monde qui nous rassemble: celui de la Domination.
Pause dans cette première séance.
Note : Encore une fois, je refuse de répondre aux commentaires dont l'unique message est de savoir si je vis cela ou l'imagine. Peu importe. Pour beaucoup de ces textes, ils ne sont que l'exploration de l'appartenance par Harmony. Mais je n'ai pas de raison de dire : vécu ou imagination car ce blog est bien l'exploration de ma vision, mon désir, mon vécu de la soumission. 
Bien sûr, maintenant, il se peut qu'un jour, une autre forme apparaisse, le vécu au quotidien de l'abandon à LUI (ceci fut ajouté le 8 novembre 2014)